
Dans la réalité quotidienne des usagers, elle est souvent beaucoup plus sourde, invisible et donc ignorée. Selon les situations, une disposition de l’organisation peut être vécue par les uns comme naturelle, par les autres comme une contrainte qui peut faire violence.
Les horaires de lever et de coucher, des repas et des rendez-vous, les bruits dans les couloirs, les odeurs, l’accès aux activités, etc. sont autant de détails qui, pour certains, peuvent faire violence.
Il faudrait toujours travailler avec cette préoccupation : où se cachent les maltraitances que nous ne voyons pas ?

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